En comité plénier—Le sénateur Cardozo interroge James O’Reilly relativement à sa nomination au poste de conseiller sénatorial en éthique

Par: L'hon. Andrew Cardozo

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Le sénateur Cardozo : Je vous remercie. J’ai une question. J’aimerais donner le temps de parole qu’il me restera à ma collègue, la sénatrice Audette.

Monsieur O’Reilly, je vous remercie d’être venu ici et d’avoir posé votre candidature à ce poste important. Nous avons discuté avec vous de votre obligation de rendre des comptes au Sénat. Si je peux paraphraser vos propos, vous avez dit qu’il s’agit d’un code que les sénateurs ont adopté pour déterminer comment ils allaient régir leurs affaires. Je paraphrase.

Si le Sénat modifiait le code au cours de votre mandat et l’assouplissait de manière à faciliter les comportements peu éthiques, quel serait votre rôle, selon vous? Comment réagiriez-vous à cela?

M. O’Reilly : Je vous remercie. Honorables sénateurs, encore une fois, c’est à cette institution d’en décider. Dans ces circonstances, il pourrait être souhaitable de demander l’avis et les conseils du conseiller qui, à ce moment-là, aurait peut-être une certaine expérience de l’application du code ainsi que dans d’autres domaines qui pourraient le guider. Ultimement, c’est l’institution qui détermine ce que dit le code. Il serait important de tenir compte de l’avis du conseiller, en particulier s’il a une certaine expérience dans l’application du code.

Le sénateur Cardozo : Le feriez-vous en privé avec un comité ou ressentiriez-vous le besoin de le faire en public?

M. O’Reilly : J’attendrais qu’on m’invite à prendre la parole et je ne le ferais que si je pensais que mes idées étaient les bienvenues.

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