L’honorable Danièle Henkel : Merci, madame la secrétaire d’État. Chaque jour, des milliers de Canadiens, en majorité des femmes, mettent leur carrière, leurs projets et parfois leur santé entre parenthèses pour s’occuper d’un parent âgé. Sans ces aidants, notre système de soins aux aînés ne tiendrait pas, et pourtant, leur rôle reste largement invisible et leur soutien, fragmenté entre crédits d’impôt, congés limités et initiatives ponctuelles.
Votre gouvernement est-il prêt à faire preuve de leadership en travaillant avec les provinces et les territoires à la mise en place d’un véritable cadre national de soutien aux aidants, un cadre qui reconnaisse pleinement leur apport, assure leur sécurité économique, les protège et les accompagne, tout en renforçant la solidarité intergénérationnelle et la dignité de nos aînés au Canada?
L’honorable Stephanie McLean, c.p., députée, secrétaire d’État (Aînés) : Merci de votre question, sénatrice. C’est un sujet important.
Les préposés aux services de soutien à la personne sont extrêmement importants pour les aînés et sont un élément essentiel de l’économie des soins. Le gouvernement est déterminé à soutenir les travailleurs de la santé. Nous savons que ce sera de plus en plus important en raison du vieillissement de la population.
L’une de nos initiatives récentes dont je suis fière, c’est le Programme d’innovation pour l’épargne-retraite des préposés aux services de soutien à la personne, qui contribue à renforcer la sécurité de la retraite des préposés aux services de soutien à la personne.
Nous offrons jusqu’à 42,2 millions de dollars en financement pour mettre à l’essai des mesures afin de cerner la meilleure façon d’encourager l’épargne chez les préposés aux services de soutien à la personne et de protéger leur avenir financier. C’est une des mesures que nous avons prises pour que les préposés aux services de soutien à la personne puissent rester en poste et se faire recruter dans l’industrie.
La sénatrice Henkel : Madame la secrétaire d’État, le vieillissement de la population est l’un des plus grands défis de notre époque, mais la dignité de nos aînés dépend directement de la capacité de leurs proches à les accompagner sans s’épuiser. Étant donné que j’ai moi-même été aidante naturelle auprès de ma mère pendant 10 ans, je mesure le poids et la noblesse de ce rôle.
Si le gouvernement ne crée pas de cadre national, envisage-t-il alors d’améliorer dès maintenant les prestations, les protections d’emploi et le soutien communautaire pour offrir aux aidants un véritable filet de sécurité?
Mme McLean : Je vous remercie de la question. Je sais également ce que c’est que de soutenir quelqu’un qui a besoin de beaucoup de soins. Dans ma jeunesse, mon père a lutté contre le cancer pendant six ans avant de mourir, et je lui ai prodigué ces soins. Je connais donc très bien cette réalité.
Le gouvernement collabore avec les provinces et les territoires pour mettre en place de meilleurs systèmes de recrutement et de maintien en poste et pour soutenir les personnes qui en ont besoin, qu’il s’agisse de membres de la famille ou de travailleurs de soutien professionnels, afin de leur offrir notamment du répit et du soutien. Merci.
L’honorable Danièle Henkel : Merci, madame la secrétaire d’État. Chaque jour, des milliers de Canadiens, en majorité des femmes, mettent leur carrière, leurs projets et parfois leur santé entre parenthèses pour s’occuper d’un parent âgé. Sans ces aidants, notre système de soins aux aînés ne tiendrait pas, et pourtant, leur rôle reste largement invisible et leur soutien, fragmenté entre crédits d’impôt, congés limités et initiatives ponctuelles.
Votre gouvernement est-il prêt à faire preuve de leadership en travaillant avec les provinces et les territoires à la mise en place d’un véritable cadre national de soutien aux aidants, un cadre qui reconnaisse pleinement leur apport, assure leur sécurité économique, les protège et les accompagne, tout en renforçant la solidarité intergénérationnelle et la dignité de nos aînés au Canada?
L’honorable Stephanie McLean, c.p., députée, secrétaire d’État (Aînés) : Merci de votre question, sénatrice. C’est un sujet important.
Les préposés aux services de soutien à la personne sont extrêmement importants pour les aînés et sont un élément essentiel de l’économie des soins. Le gouvernement est déterminé à soutenir les travailleurs de la santé. Nous savons que ce sera de plus en plus important en raison du vieillissement de la population.
L’une de nos initiatives récentes dont je suis fière, c’est le Programme d’innovation pour l’épargne-retraite des préposés aux services de soutien à la personne, qui contribue à renforcer la sécurité de la retraite des préposés aux services de soutien à la personne.
Nous offrons jusqu’à 42,2 millions de dollars en financement pour mettre à l’essai des mesures afin de cerner la meilleure façon d’encourager l’épargne chez les préposés aux services de soutien à la personne et de protéger leur avenir financier. C’est une des mesures que nous avons prises pour que les préposés aux services de soutien à la personne puissent rester en poste et se faire recruter dans l’industrie.
La sénatrice Henkel : Madame la secrétaire d’État, le vieillissement de la population est l’un des plus grands défis de notre époque, mais la dignité de nos aînés dépend directement de la capacité de leurs proches à les accompagner sans s’épuiser. Étant donné que j’ai moi-même été aidante naturelle auprès de ma mère pendant 10 ans, je mesure le poids et la noblesse de ce rôle.
Si le gouvernement ne crée pas de cadre national, envisage-t-il alors d’améliorer dès maintenant les prestations, les protections d’emploi et le soutien communautaire pour offrir aux aidants un véritable filet de sécurité?
Mme McLean : Je vous remercie de la question. Je sais également ce que c’est que de soutenir quelqu’un qui a besoin de beaucoup de soins. Dans ma jeunesse, mon père a lutté contre le cancer pendant six ans avant de mourir, et je lui ai prodigué ces soins. Je connais donc très bien cette réalité.
Le gouvernement collabore avec les provinces et les territoires pour mettre en place de meilleurs systèmes de recrutement et de maintien en poste et pour soutenir les personnes qui en ont besoin, qu’il s’agisse de membres de la famille ou de travailleurs de soutien professionnels, afin de leur offrir notamment du répit et du soutien. Merci.