L’honorable Terry M. Mercer : Honorables sénateurs, c’est avec tristesse que j’ai appris le décès de notre ancien collègue et ami, le sénateur Bob Peterson. Ingénieur de métier, Bob était extrêmement fier de sa chère province, la Saskatchewan, et a travaillé sans relâche au Sénat pour le bien de sa population.
Je compte parmi les quelques privilégiés à avoir travaillé avec Bob de nombreuses années avant sa nomination au Sénat. Bob était un fier libéral. Lui et moi avons échangé plus d’une anecdote sur les coulisses du milieu politique, où, trop souvent, se prennent les décisions. C’est dans ces coulisses qu’il brillait et qu’il s’est fait les dents. Les leçons qu’il a apprises dans sa carrière politique l’ont conduit ici, au Sénat.
Il nous a légué un héritage que beaucoup d’entre nous auraient intérêt à suivre. Beaucoup d’entre nous le font d’ailleurs. Il s’agit d’un héritage de dur labeur, de diligence, d’honnêteté et d’humour, puisque son sens de l’humour était célèbre. En tant que sénateur, Bob a vigoureusement défendu l’intérêt du secteur agricole, des Canadiens autochtones et du secteur de l’énergie. Cela dit, il savait joindre l’utile à l’agréable. Nous nous sommes tellement amusés aux comités dont nous étions tous deux membres. J’ai toujours aimé sa façon positive de voir les choses.
J’exprime mes condoléances à son épouse Muriel, à ses enfants, à ses petits-enfants et à tout le clan Peterson. Bob Peterson était un bon gars, toujours souriant, qui cherchait sans cesse à aider sa communauté, sa province, son pays et, surtout, les gens. Tu nous manqueras, Bob.